J’aimerais vous parler d’un tas de choses (de la suite des aventures de R., de mes ruses pour mettre mes 4e au travail, de la salle des profs, des copies à corriger, les pires comme les meilleures…) mais j’ai l’impression d’avoir des fourmis qui me grignotent le crâne.
Oserai-je dire que j’ai besoin de vacances ?
J’ai besoin de vacances.
Je vous quitte sur ces vers de Ronsard qui ont réussi à me réveiller malgré la torpeur de la digestion :
Un Prométhée en passion je suis // Et pour aimer perdant toute puissance // Ne pouvant rien, je fais ce que je puis.
Amours de 1553, sonnet 12.